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La vache qui lit consacre en grande partie son numéro 127 aux éditions Ecorce, et en particulier au roman de Séverine Chevalier : Recluses. Plus précisément encore, à une interview de l'auteure ; mais notez bien qu'il s'agit de celle réalisée par Caroline pour le blog Unwalkers en février. Un copié-collé effectué avec l'accord de toute l'équipe, naturellement.
Cette interview est toujours disponible sur Unwalkers : ici. Et vous pouvez aussi vous abonner à la lettre de La vache qui lit (publiée depuis 1997) en contactant son principal rédacteur :
serge.vacher[at]wanadoo.fr
Ce numéro 127 contient également une courte chronique de Recluses. On n'avait pas encore qualifié le roman de « space » – c'est maintenant chose faite. Et à l'attention des lecteurs qui seraient tentés de rester sur leurs gardes en lisant ces mots, rassurez-vous, le roman de Séverine n'est pas pour autant hallucinogène.
Certes, son écriture et sa structure contrarient bien des codes et des règles qu'on a coutume de suivre dans le genre noir (ou plutôt polar). Ils les esquivent, même. S'en contrefichent, peut-être bien. C'est l'image des sentiers battus qu'ont employée plusieurs lecteurs et chroniqueurs à la sortie du roman. La sentier n'est pas taillé, et encore moins balisé : pas de signalétique, pas de « paysage magnifique », pas de monument historique admirablement bien conservé à votre gauche, à votre droite, amis touristes. Il n'y a ni carte IGN, ni guide à votre service pour vous mâcher le travail. Mais néanmoins un itinéraire précis, au sens géographique et topographique. A vos risques et périls.
Enfin, ce numéro 127 évoque la relation de Limoges (où est implantée La vache qui lit) au polar. Un petit encart s'y intitule : Limoges : terrain noir. Et une mention est naturellement faite au prochain salon du livre que la même ville organise à la fin du mois.
« Ouvert à tous », dit l'article à propos de l'événement. « A presque tous », sommes-nous forcés de corriger. Comme vous le savez sans doute déjà, Séverine n'a pas été invitée sur ce salon, mais vous aurez néanmoins l'occasion de la rencontrer à Limoges, un peu plus tard.
Pour finir, nous apprenons ces jours-ci la fermeture du blog Moisson noire, dont le lien figure dans la colonne de droite de celui-ci, parmi les noirs détours. Nous allons le regretter, principalement pour les articles argumentés qu'il offrait de façon régulière, consacrés comme son nom l'indiquait à la littérature noire, au sens le plus large qui soit. Le blog reste néanmoins accessible et ne devrait pas disparaître.
Pour mémoire et archives, il y fut question de Retour à la nuit, d'Eric Maneval, en avril 2010, sur cette page, puis de Bois, de Fred Gevart, en janvier 2011, sur celle-ci.
Merci Yann.
La vache qui lit consacre en grande partie son numéro 127 aux éditions Ecorce, et en particulier au roman de Séverine Chevalier : Recluses. Plus précisément encore, à une interview de l'auteure ; mais notez bien qu'il s'agit de celle réalisée par Caroline pour le blog Unwalkers en février. Un copié-collé effectué avec l'accord de toute l'équipe, naturellement.
Cette interview est toujours disponible sur Unwalkers : ici. Et vous pouvez aussi vous abonner à la lettre de La vache qui lit (publiée depuis 1997) en contactant son principal rédacteur :
serge.vacher[at]wanadoo.fr
Ce numéro 127 contient également une courte chronique de Recluses. On n'avait pas encore qualifié le roman de « space » – c'est maintenant chose faite. Et à l'attention des lecteurs qui seraient tentés de rester sur leurs gardes en lisant ces mots, rassurez-vous, le roman de Séverine n'est pas pour autant hallucinogène.
Certes, son écriture et sa structure contrarient bien des codes et des règles qu'on a coutume de suivre dans le genre noir (ou plutôt polar). Ils les esquivent, même. S'en contrefichent, peut-être bien. C'est l'image des sentiers battus qu'ont employée plusieurs lecteurs et chroniqueurs à la sortie du roman. La sentier n'est pas taillé, et encore moins balisé : pas de signalétique, pas de « paysage magnifique », pas de monument historique admirablement bien conservé à votre gauche, à votre droite, amis touristes. Il n'y a ni carte IGN, ni guide à votre service pour vous mâcher le travail. Mais néanmoins un itinéraire précis, au sens géographique et topographique. A vos risques et périls.
Enfin, ce numéro 127 évoque la relation de Limoges (où est implantée La vache qui lit) au polar. Un petit encart s'y intitule : Limoges : terrain noir. Et une mention est naturellement faite au prochain salon du livre que la même ville organise à la fin du mois.
« Ouvert à tous », dit l'article à propos de l'événement. « A presque tous », sommes-nous forcés de corriger. Comme vous le savez sans doute déjà, Séverine n'a pas été invitée sur ce salon, mais vous aurez néanmoins l'occasion de la rencontrer à Limoges, un peu plus tard.
Pour finir, nous apprenons ces jours-ci la fermeture du blog Moisson noire, dont le lien figure dans la colonne de droite de celui-ci, parmi les noirs détours. Nous allons le regretter, principalement pour les articles argumentés qu'il offrait de façon régulière, consacrés comme son nom l'indiquait à la littérature noire, au sens le plus large qui soit. Le blog reste néanmoins accessible et ne devrait pas disparaître.
Pour mémoire et archives, il y fut question de Retour à la nuit, d'Eric Maneval, en avril 2010, sur cette page, puis de Bois, de Fred Gevart, en janvier 2011, sur celle-ci.
Merci Yann.
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