Outre le travail mené sur le texte avec l'auteur et une précieuse équipe de relecteurs/trices, Retour à la nuit fut le terrain de recherche d'une ligne graphique propre à Ecorce, dont les paramètres seront naturellement repris pour les ouvrages à venir : format, couleurs, type de papier, pelliculage, traitement de l'image... tout ce qui donne une identité à une collection.
Initialement, la photo de couverture du roman aurait dû être celle-ci :
L'agressivité des rouages, les dents de scie et le grain de l'image pouvaient rimer avec les premières pages du roman, lorsque le personnage narrateur parle de sa chute dans l'eau tumultueuse, près d'un barrage ; de ses blessures corporelles, de son traumatisme.
En fin de compte, la photo d'un corps lisse fit l'unanimité. Paradoxalement. Les blessures se trouvent dans les pages du roman ; à l'intérieur et non en surface.
Les premiers repérages d'Eric dans la région, en juillet 2009, nous menèrent à proximité de quelques barrages, le long de la Vézère et ailleurs. Celui qu'il choisit pour situer la première scène du roman n'apparaît pas ci-dessous.
Initialement, la photo de couverture du roman aurait dû être celle-ci :
L'agressivité des rouages, les dents de scie et le grain de l'image pouvaient rimer avec les premières pages du roman, lorsque le personnage narrateur parle de sa chute dans l'eau tumultueuse, près d'un barrage ; de ses blessures corporelles, de son traumatisme.
En fin de compte, la photo d'un corps lisse fit l'unanimité. Paradoxalement. Les blessures se trouvent dans les pages du roman ; à l'intérieur et non en surface.
Les premiers repérages d'Eric dans la région, en juillet 2009, nous menèrent à proximité de quelques barrages, le long de la Vézère et ailleurs. Celui qu'il choisit pour situer la première scène du roman n'apparaît pas ci-dessous.
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