Ecorce hiberne. Le temps s'y prête. La maison d'édition ne s'est pas établie par hasard dans un petit hameau où, chaque hiver (ou presque), la neige, le verglas et les températures qui riment avec offrent un prétexte de se retrancher dans une bulle - ou plutôt un terrier kafkaïen.
Mais, de temps en temps, dans le silence de l'hiver, on distingue des échos en provenance de la forêt si proche, ou d'ailleurs. Aujourd'hui, un écho qui prend sa source sur le site de Michel Jacquet, auteur et ancien flic, qui vit à Marseille et suit le travail d'Eric Maneval depuis plusieurs années. Il commente le roman Retour à la nuit : ici.
Un autre écho, beaucoup plus proche, issu des pages du n°107 de la revue La vache qui lit, établie à 38km au sud-est de notre terrier, c'est à dire à Limoges. Il y est également question du roman, mais aussi d'une présentation d'Ecorce (made in Ecorce).
Mais, de temps en temps, dans le silence de l'hiver, on distingue des échos en provenance de la forêt si proche, ou d'ailleurs. Aujourd'hui, un écho qui prend sa source sur le site de Michel Jacquet, auteur et ancien flic, qui vit à Marseille et suit le travail d'Eric Maneval depuis plusieurs années. Il commente le roman Retour à la nuit : ici.
Un autre écho, beaucoup plus proche, issu des pages du n°107 de la revue La vache qui lit, établie à 38km au sud-est de notre terrier, c'est à dire à Limoges. Il y est également question du roman, mais aussi d'une présentation d'Ecorce (made in Ecorce).
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