Quatre mois après sa sortie, le roman d'Eric Maneval continue de faire parler de lui sur la toile. Je vous invite à lire la chronique de Retour à la nuit parue hier sur le blog Moisson noire, signée Yann Le Tumelin. Chronique argumentée et soignée, qui résulte d'une évidente immersion personnelle dans le récit d'Eric, mais aussi inattendue, puisque Yann, initialement, je l'avoue, n'a pas reçu d'exemplaire du roman.
Et à ceux d'entre vous qui suivent l'aventure écorcienne, j'annonce que le deuxième Polychrome est sur le feu. Il sortira plus tôt que prévu (à la fin du mois de mai) et résultera de l'expérience Polychromes : blanc qui a suscité des réactions très différentes, mais aussi provoqué des questionnements, des doutes et des idées.
Le format numérique et les outils qui permettent de le lire font beaucoup parler d'eux ces derniers temps, et ça ne fait que commencer. Négliger ou nier les interrogations que le phénomène implique reviendrait à se détourner de l'époque ; à refuser d'envisager l'ici et maintenant qui nous sollicite et ne cesse de se transformer, qu'on le veuille ou non ; que cette époque nous apparaisse formidable ou déplorable, passionnante ou triste à mourir, peu importe, dit l'époque. Elle file comme une locomotive, et il se trouve qu'Ecorce n'a nulle envie de prendre les airs d'un wagon mort.
Et à ceux d'entre vous qui suivent l'aventure écorcienne, j'annonce que le deuxième Polychrome est sur le feu. Il sortira plus tôt que prévu (à la fin du mois de mai) et résultera de l'expérience Polychromes : blanc qui a suscité des réactions très différentes, mais aussi provoqué des questionnements, des doutes et des idées.
Le format numérique et les outils qui permettent de le lire font beaucoup parler d'eux ces derniers temps, et ça ne fait que commencer. Négliger ou nier les interrogations que le phénomène implique reviendrait à se détourner de l'époque ; à refuser d'envisager l'ici et maintenant qui nous sollicite et ne cesse de se transformer, qu'on le veuille ou non ; que cette époque nous apparaisse formidable ou déplorable, passionnante ou triste à mourir, peu importe, dit l'époque. Elle file comme une locomotive, et il se trouve qu'Ecorce n'a nulle envie de prendre les airs d'un wagon mort.
Si je n'ai pas le temps de lire tous les livres que je reçois, c'est parce que je suis en train de lire ceux que je n'ai pas reçus... Moralité, il valait peut-être mieux ne pas me l'envoyer, pour que j'ai plus de chance de le lire !
RépondreSupprimerBelle aventure éditoriale en tout cas, bonne chance, et j'ai hâte de lire le prochain (si vous me l'envoyez...).
;-)
Mais si je vous l'envoie, le lirez-vous ?
RépondreSupprimerLe deuxième roman va se faire attendre (désirer) encore un peu, mais je vous l'enverrai. Les critiques que je préfère sont celles écrites avec les nerfs.
Merci encore !
Et bien...après avoir lu le post de Jeanjean, j'atterris chez vous. On peut commander en direct??? Si non, je file dès cet après-midi chez mon libraire le commander. A bientôt
RépondreSupprimerps: et merci d'avoir ajouté mon blog dans votre blogroll
Vous pouvez commander directement le roman en suivant les petites indications sur cette page : http://www.ecorce-edit.com/commandes.html
RépondreSupprimerLes liens, c'est une collecte de tous les sites ou blogs qui défendent le genre noir et ses dérivés. Elle n'est pas exhaustive, loin de là. Ça permet de créer des échos, un réseau, de se renvoyer la balle, etc, c'est la magie d'Internet.
Merci à vous