Calme plat en territoire écorcien, ou presque. Méfiez-vous de l'eau qui dort, dit-on. Des remous vont survenir, mais pas tout de suite. Ils auront lieu dans un premier temps en coulisses, puisque différents changements vont s'opérer au sein même de la maison d'édition, afin de consolider sa structure tout en lui donnant davantage de souplesse.
Nous vivons une époque où la culture n'est pas une priorité et où il faut se battre pour que des créations, ici littéraires, puissent voir le jour dans de bonnes conditions ; pour qu'elles existent et soient diffusées, partagées, reconnues ; pour qu'elles continuent à témoigner efficacement de leur temps, en direct, sans décalage et sans filtre. Pour qu'elles ne soient pas étouffées, aussitôt nées, par la masse marchande qu'on nomme souvent culturelle, à tort.
C'est un combat qui se déroule dans l'ombre, pourrait-on dire, car tant d'autres préoccupations stimulent le monde ou l'accaparent à l'insu des individus. L'avantage, dans ce combat, c'est qu'on ne le mène pas seul.
Je reçois beaucoup de questions au sujet du deuxième roman de la collection. Sachez qu'il arrive, tranquillement ; il est en gestation. Mais il ne sortira pas de façon précipitée. Et d'autres créations, telles que Polychromes : blanc, au mois de mars, assureront le passage entre le premier roman et le deuxième.
Et Retour à la nuit continue son bonhomme de chemin. Outre sa sélection en finale du prix Intramuros au prochain festival de Cognac, des exemplaires du roman seront prochainement offerts aux nouveaux abonnés de la revue L'indic, qui prend d'une certaine façon le relai du défunt Ours polar, après 50 numéros parus. C'est un défi, il est de taille, et je vous invite, amateurs de noire littérature, à visiter le site de L'indic sans plus tarder.
En Limousin, l'eau ne dort pas vraiment.
L'approche du salon du livre de Limoges crée des ondes concentriques en surface. En terme de roman noir, une brochette d'auteurs sera au rendez-vous les 24 et 25 avril prochains, répartis sur différents stands : Patrick K. Dewdney, Serge Vacher (à l'occasion de la sortie de son deuxième roman, aux éditions Après la lune), Eric Maneval, Franck Bouysse (Les ardents éditeurs), Gilda Piersanti (éditions Le passage), entre autres nombreuses plumes...
Tout ceci dans le sillage du passage éclair de Lalie Walker, en dédicace à la librairie Page et plume le vendredi 2 avril, et celui (non moins éclair) de Jean-Hugues Oppel, en intervention dans un collège de Felletin, le 30 mars. Nous reparlerons du sieur Oppel prochainement, puisqu'un autre événement se profile à l'horizon, intitulé Les nuits noires d'Aubusson.
Jean-Hugues Oppel, intervention à Felletin (photo : Malika Uhlen)
Nous vivons une époque où la culture n'est pas une priorité et où il faut se battre pour que des créations, ici littéraires, puissent voir le jour dans de bonnes conditions ; pour qu'elles existent et soient diffusées, partagées, reconnues ; pour qu'elles continuent à témoigner efficacement de leur temps, en direct, sans décalage et sans filtre. Pour qu'elles ne soient pas étouffées, aussitôt nées, par la masse marchande qu'on nomme souvent culturelle, à tort.
C'est un combat qui se déroule dans l'ombre, pourrait-on dire, car tant d'autres préoccupations stimulent le monde ou l'accaparent à l'insu des individus. L'avantage, dans ce combat, c'est qu'on ne le mène pas seul.
Je reçois beaucoup de questions au sujet du deuxième roman de la collection. Sachez qu'il arrive, tranquillement ; il est en gestation. Mais il ne sortira pas de façon précipitée. Et d'autres créations, telles que Polychromes : blanc, au mois de mars, assureront le passage entre le premier roman et le deuxième.
Et Retour à la nuit continue son bonhomme de chemin. Outre sa sélection en finale du prix Intramuros au prochain festival de Cognac, des exemplaires du roman seront prochainement offerts aux nouveaux abonnés de la revue L'indic, qui prend d'une certaine façon le relai du défunt Ours polar, après 50 numéros parus. C'est un défi, il est de taille, et je vous invite, amateurs de noire littérature, à visiter le site de L'indic sans plus tarder.
En Limousin, l'eau ne dort pas vraiment.
L'approche du salon du livre de Limoges crée des ondes concentriques en surface. En terme de roman noir, une brochette d'auteurs sera au rendez-vous les 24 et 25 avril prochains, répartis sur différents stands : Patrick K. Dewdney, Serge Vacher (à l'occasion de la sortie de son deuxième roman, aux éditions Après la lune), Eric Maneval, Franck Bouysse (Les ardents éditeurs), Gilda Piersanti (éditions Le passage), entre autres nombreuses plumes...
Tout ceci dans le sillage du passage éclair de Lalie Walker, en dédicace à la librairie Page et plume le vendredi 2 avril, et celui (non moins éclair) de Jean-Hugues Oppel, en intervention dans un collège de Felletin, le 30 mars. Nous reparlerons du sieur Oppel prochainement, puisqu'un autre événement se profile à l'horizon, intitulé Les nuits noires d'Aubusson.
Jean-Hugues Oppel, intervention à Felletin (photo : Malika Uhlen)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire