Errance numéro 3 : dans un hôtel abandonné situé en bordure de l'A20, en Haute-Vienne. Un lieu marqué, à présent presque insoupçonnable depuis la voie rapide, cerné de végétation, voire étouffé par endroits. Mais praticable.
Que peut-il bien se passer dans un tel lieu quand on écrit des romans noirs ? Demandez-le à Fred, mais rien ne dit qu'il vous répondra. Ou pas tout de suite. Et il se pourrait même que les idées venues ce jour-là se transforment ou soient remplacées encore par d'autres dans les mois à venir, mais il est sûr que certaines auront planté leurs racines dans cet endroit singulier.
Pour une approche plus complète du lieu, suivez ce lien : nocturne errance
Dans la foulée, les plus curieux et attentifs d'entre vous auront déjà lu cette interview de Joël Gastellier parue sur le site Nantes-actu.info, illustrée par une photo où l'on voit notre précieux libraire partenaire (L'étoile Polar, à Nantes) muni d'un exemplaire du roman Bois, de Fred Gevart.
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Et puisqu'on vous dit tout, ou presque, une autre rencontre auteur-éditeur aura lieu la semaine prochaine, dans un autre endroit particulier. Il est possible que des clichés témoignent de la rencontre, et quelques commentaires, ou plutôt des indices, puisque l'auteur en question est celui du troisième roman de la collection Ecorce.
Oui, nous aimons bien vous faire languir.
La bande sonore écorcienne de la semaine écoulée se composait, entre autres, de Pixies, de A place to bury strangers, de The Cure, de Nine Inch Nails, de Franz Liszt, d'Hubert-Félix Thiéfaine et de Sonic Youth.
Oui, nous aimons bien vous faire languir.
La bande sonore écorcienne de la semaine écoulée se composait, entre autres, de Pixies, de A place to bury strangers, de The Cure, de Nine Inch Nails, de Franz Liszt, d'Hubert-Félix Thiéfaine et de Sonic Youth.
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