sur le blog Unwalkers.
Fred y parle du roman Bois, bien entendu, mais il passe aussi au crible différentes étapes de sa trajectoire personnelle dans l'univers de la littérature, de Stephen King à David Peace, en passant par Dick et Manchette ; il y parle de sa propre expérience d'auteur, avant tout ; une vingtaine d'années à gratter du papier, de rencontres en rencontres, de lectures en lectures, d'essais en essais, jusqu'à Bois.
L'interview est lisible ici
Bois produit d'autres échos simultanés, ici et là :
Une chronique du roman figure
sur le site K-libre depuis hier : là
La vache qui lit parle également de Bois
dans son numéro 117 de février.
La librairie L'Etoile Polar, à Nantes,
recommande le roman sur son espace Facebook, ici
Pour ceux d'entre vous qui résident où il faut,
le journal La Montagne Creuse publiera dimanche
un article au sujet de Bois et des éditions Ecorce.
Enfin, rappelons que le numéro 8 de la revue L'indic, fraichement sorti
(voir le message précédent du présent blog),
consacre une page entière au roman de Fred Gevart.
Par ailleurs, Vous pigez ?, s'intitule l'article signé Eric Maneval dans le dossier consacré aux prisons de ce même numéro de L'indic. C'est avant tout le titre de la Série Noire n°7, de Peter Cheney, parue en 1948. Eric ne nous dira pas le contraire, puisque ce titre n'est que l'introduction d'un article qui se présente comme un récit intime, nourri d'autres références et d'anecdotes liées à la thématique de cet épisode très dense de L'indic.
Si vous attendiez un numéro propice pour vous abonner à la revue, c'est peut-être bien celui-ci.
Et puisque certaines confirmations tardent un peu, nous allons vous glisser au compte-gouttes des lieux et des dates de rendez-vous pour ce premier semestre 2011. Nous avons déjà mentionné la dédicace de Fred Gevart, le 12 mars prochain à la librairie Les 4 chemins, à Lille.
Fred sera également présent sur le salon Mauves en noir (à Mauves en Loire, dans le 44) les 16 et 17 avril. Non loin de lui se tiendront, entre autres, Jean-Bernard Pouy, Lalie Walker, Claude Mesplède, Jean-Hugues Oppel, Hafed Benotman, Max Obione, Hervé Sard (entre autres, je vous dis) et un certain Eric Maneval. Rencontre au sommet, puisque les deux auteurs écorciens ne se sont jamais croisés.
Jamais deux sans trois...
L'interview est lisible ici
Bois produit d'autres échos simultanés, ici et là :
Une chronique du roman figure
sur le site K-libre depuis hier : là
La vache qui lit parle également de Bois
dans son numéro 117 de février.
La librairie L'Etoile Polar, à Nantes,
recommande le roman sur son espace Facebook, ici
Pour ceux d'entre vous qui résident où il faut,
le journal La Montagne Creuse publiera dimanche
un article au sujet de Bois et des éditions Ecorce.
Enfin, rappelons que le numéro 8 de la revue L'indic, fraichement sorti
(voir le message précédent du présent blog),
consacre une page entière au roman de Fred Gevart.
Par ailleurs, Vous pigez ?, s'intitule l'article signé Eric Maneval dans le dossier consacré aux prisons de ce même numéro de L'indic. C'est avant tout le titre de la Série Noire n°7, de Peter Cheney, parue en 1948. Eric ne nous dira pas le contraire, puisque ce titre n'est que l'introduction d'un article qui se présente comme un récit intime, nourri d'autres références et d'anecdotes liées à la thématique de cet épisode très dense de L'indic.
Si vous attendiez un numéro propice pour vous abonner à la revue, c'est peut-être bien celui-ci.
Et puisque certaines confirmations tardent un peu, nous allons vous glisser au compte-gouttes des lieux et des dates de rendez-vous pour ce premier semestre 2011. Nous avons déjà mentionné la dédicace de Fred Gevart, le 12 mars prochain à la librairie Les 4 chemins, à Lille.
Fred sera également présent sur le salon Mauves en noir (à Mauves en Loire, dans le 44) les 16 et 17 avril. Non loin de lui se tiendront, entre autres, Jean-Bernard Pouy, Lalie Walker, Claude Mesplède, Jean-Hugues Oppel, Hafed Benotman, Max Obione, Hervé Sard (entre autres, je vous dis) et un certain Eric Maneval. Rencontre au sommet, puisque les deux auteurs écorciens ne se sont jamais croisés.
Jamais deux sans trois...
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