Vendredi 16 juillet, au terme d'une magnifique prestation d'Arno sur l'île de Vassivière, je disais à un compère éditeur que le deuxième roman de la collection noir d'Ecorce allait voir le jour en octobre, c'est à dire presque un an après le premier.
Octobre, dans le meilleur des cas, puisque plein de petits imprévus sont toujours susceptibles de survenir entre temps et d'enrailler la machine. Mais octobre pourrait bien voir naître un deuxième roman, néanmoins. Je n'en dévoilerai le nom de l'auteur et le titre qu'en septembre, même si je crois qu'une petite poignée d'entre vous les connaissent déjà – et les attendent, pour différentes raisons.
Je vous avouerais même que des essais de couvertures sont actuellement en cours. Des tentatives visuelles qui aboutiront un jour ou l'autre (à une heure précise, même, où on décidera que ce sera cette photographie et nulle autre qui illustrera ce roman – car non, ce n'est pas un détail négligeable qui se règle à la dernière minute ; n'en déplaise aux éditeurs qui donnent à leurs livres les allures de guides touristiques de 200 ou 300 pages d'épaisseur).
Je vous avouerais même que des essais de couvertures sont actuellement en cours. Des tentatives visuelles qui aboutiront un jour ou l'autre (à une heure précise, même, où on décidera que ce sera cette photographie et nulle autre qui illustrera ce roman – car non, ce n'est pas un détail négligeable qui se règle à la dernière minute ; n'en déplaise aux éditeurs qui donnent à leurs livres les allures de guides touristiques de 200 ou 300 pages d'épaisseur).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire