Le roman Retour à la nuit s'immiscera dans les prochains jours dans les rayons de la librairie Terminus polar, située à Paris. Pour ceux d'entre vous qui n'ont pas encore franchi le seuil de la librairie de Caroline Masson, sachez qu'elle se trouve au 1, rue Abel Rabaud, dans le 11ème. Je vous invite à cliquer sur l'image ci-dessous pour embrasser mieux la devanture de ce lieu, en attendant de vous immerger dans ses rayons.
En cliquant et en examinant bien l'image, vous pourrez aussi distinguer la couverture du numéro 4 de la revue L'indic, réalisée par l'association Fondu au noir, établie à Nantes. J'en profite ainsi pour vous annoncer la sortie du numéro 5 qui se trouvait dans ma boîte à lettres ce matin-même. Le dossier de ce numéro s'intitule Les fondus se fendent la gueule. Et parmi les articles qu'il contient s'en trouve un signé... Eric Maneval. Ça vous dit quelque chose ?
Et je mettrais ma main au feu que la personne qui se trouve à droite de l'image, toute de noir vêtue, se nomme Lalie Walker. Lalie, dont on parle un peu partout ces jours-ci, dans la presse liée à la littérature noire, et en particulier de son roman Aux malheurs des dames (éditions Parigramme). A ce sujet tout à fait épineux, qui interroge le rapport du réel à la fiction, je vous invite à lire l'article écrit par Claude Le Nocher, sur son blog : ici
En cliquant et en examinant bien l'image, vous pourrez aussi distinguer la couverture du numéro 4 de la revue L'indic, réalisée par l'association Fondu au noir, établie à Nantes. J'en profite ainsi pour vous annoncer la sortie du numéro 5 qui se trouvait dans ma boîte à lettres ce matin-même. Le dossier de ce numéro s'intitule Les fondus se fendent la gueule. Et parmi les articles qu'il contient s'en trouve un signé... Eric Maneval. Ça vous dit quelque chose ?
Et je mettrais ma main au feu que la personne qui se trouve à droite de l'image, toute de noir vêtue, se nomme Lalie Walker. Lalie, dont on parle un peu partout ces jours-ci, dans la presse liée à la littérature noire, et en particulier de son roman Aux malheurs des dames (éditions Parigramme). A ce sujet tout à fait épineux, qui interroge le rapport du réel à la fiction, je vous invite à lire l'article écrit par Claude Le Nocher, sur son blog : ici
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